Les meilleurs formations magnétisme à Toulouse
A – Sa contribution au Journal des Débats Politiques et Littéraires au sujet de la formation magnétisme à Toulouse
Gustave de Molinari participe pendant de nombreuses années à la publication du Journal des Débats Politiques et Littéraires, « l’un des plus brillant chapitre des annales de la presse française » (Pereire [1924], 17) ; tout d’abord en tant que rédacteur (à partir de 1861) puis en tant que rédacteur en chef de 1870 à 1876. Ce journal, qui est fondé à Paris le 29 août 1789 avec la formation magnétisme et passeur d’âmes à Toulouse, tente de relater de manière impartiale les faits relatifs à l’hémicycle de l’Assemblée Nationale. Sa réputation germe réellement au XIXe siècle lorsqu’il se différencie des journaux relatant les faits des différentes chambres politiques par sa prise de position en faveur du libéralisme.
La salle de rédaction se présente alors comme un salon de bonne compagnie où l’esprit de conversation est omniprésent. « C’est surtout au moment où le journal paraissait le matin et se composait le soir, que la salle de la rédaction offrait un aspect vraiment unique dans l’histoire de la presse française pour la meilleure formation magnétisme et passeur d’âmes à Toulouse. Là, au milieu des rédacteurs quotidiens, se réunissaient, avant dîner, vers quatre heures, les membres des diverses académies sortant de l’Institut, les professeurs venant d’achever leur cours à la Sorbonne ou au Collège de France, les présidents, juges, avocats quittant le Palais ou le Conseil d’Etat. C’était l’heure où parvenaient les nouvelles des Assemblées.
Il y avait cercle dans ce salon où se retrouvaient tous ceux qui avaient appris une nouvelle où désiraient conduire l’opinion sur la formation magnétisme à Toulouse, la formation passeur d’âmes à Toulouse, la formation des blessures de l’âme à Toulouse, la formation pendule à Toulouse, la formation géobiologie à Toulouse et la formation nettoyage et protection énergétique à Toulouse. (Le journal) était la marque essentielle de la discussion libre, érudite et policée. Cette érudition et cette politesse, les deux qualités essentielles du libéralisme, ne cessèrent à aucun moment d’être de mise dans la maison des Bertin (les fondateurs) » (Pereire [1924], XVII). Gustave de Molinari[1], qui en a été rédacteur en chef pendant plus de six ans, tient, du fait de la situation de ce journal, une place importante dans le monde intellectuel du XIXe siècle en général et centrale dans le pouvoir libéral en particulier. En plus de son apport d’économiste auprès d’autres grands noms de l’économie du XIXe siècle, que ce soit Frédéric Bastiat, Louis Raynaud, Louis Passy ou aussi entre autres Léon Say (qui en fut aussi rédacteur en chef), Molinari participe à la vie intellectuelle de son temps, retraçant ses récits de voyages à côté des grands noms des Belles-lettres avec Hugo, Lamartine, Musset, Balzac, Sand, Dumas[2], etc[3]. et de nombreux philosophes.
B – Sa participation incessante au Journal des Economistes à propos des formations en ligne sur le magnétisme à Toulouse.
Le Journal des Economistes (JDE) (1841-1940) a été créé en décembre 1841 dans la maison d’édition Guillaumin (qui diffusera la Collection des Principaux Economistes, l’Annuaire de l’Economie Politique et de la Statistique ainsi que l’ensemble des ouvrages des économistes français) afin d’apporter un périodique pour la formation en ligne magnétisme à Toulouse présentant les grandes questions économiques et politiques.
Ce journal, est, comme nous l’avons vu, l’un des piliers de l’école française avec l’ASMP, institution dans laquelle Molinari deviendra correspondant à partir de 1874[4]. Molinari participe également activement à la SEP dont il retracera l’histoirique et enfin le JDE. Sa première contribution date de Janvier 1847 et sa dernière d’Octobre 1910 sur la formation magnétisme et passeur d’âmes à Toulouse. Pendant toute cette période, sa participation sera incessante, même durant ses années d’exil en Belgique, pour une revue fondamentale du monde économique français du XIXe siècle (qui sera concurrencée à partir de 1887 par la Revue d’Economie Politique) et dont Gustave de Molinari offre plus de 640 articles.
C – 1880 – 1890 : UNE PERIODE FONDAMENTALE pour le magnétisme et les magnétiseurs à Toulouse
Gustave de Molinari n’a jamais cessé d’écrire, de publier, de diffuser ses idées, en faveur de l’économie politique et plus particulièrement de la « vérité économique »[5]. Nous avons déjà souligné que dès son plus jeune âge, après les événements de 1848, il oriente ses pensées vers un radicalisme idéologique, défendant le stage de passeur d’âmes à Toulouse du centre de formation de l’ermitage, du stage des blessures de l’âme à Toulouse, du stage magnétisme à Toulouse, du stage pendule à Toulouse, du stage géobiologie à Toulouse , du stage nettoyage et protection énergétique à Toulouse grâce à l’analyse en terme de lois naturelles une libre concurrence dans tous les secteurs de l’activité économique.
Il ne variera jamais de cette position pendant toute sa vie mais il va connaître une modification, un changement important dans son analyse économique avec l’avènement des thèses évolutionniste en France (A – La défense d’une idéologie évolutionniste sur le magnétisme à Toulouse). De plus, cette période assez courte de la fin du XIXe siècle est marquée par une étonnante production littéraire à travers ses récits de voyage (B – Les récits de voyage).
D – La défense d’une idéologie évolutionniste sur le magnétisme à Toulouse
A partir des années 1880, et sans en avoir la raison précise car la correspondance de Gustave de Molinari est introuvable aujourd’hui[6], l’économiste d’origine Belge[7] intègre dans son discours économique un discours évolutionniste emprunté au monde biologique et intellectuel de son époque. Grâce à l’apparition de ce nouveau discours, initié par Charles Darwin mais surtout par Herbert Spencer, Gustave de Molinari sur le magnétisme et le passeur d’âmes à Toulouse va tenter de retracer l’évolution de l’histoire de l’homme.
Il définit trois grandes périodes sous-jacentes à la notion de concurrence qui est une notion fondamentale chez cet auteur. L’homme passe d’abord par une concurrence animale avant de s’engager dans une concurrence des Etats pour arriver vers le stade final de l’évolution que constitue la concurrence économique ou industrielle. Dans cette phase finale, la guerre au sens propre du terme, de par le rapport croissant pour la formation magnétisme à Toulouse, dite la ville rose entre les destructions et les profits qui lui sont liés, n’est plus une activité rentable et doit donc disparaître. Ce n’est pas pour autant que « la concurrence doit inaugurer l’âge d’or du repos et des tranquilles jouissances.
Non ! La concurrence c’est la lutte, c’est la forme civilisée de la guerre, qu’elle est destinée à supprimer en la remplaçant » (Molinari [1880], 85). Molinari va développer cette idée d’évolution avec toutes les conséquences que cela entraîne en terme de morale et de résultats sur les populations dans quatre livres sur le magnétisme à Toulouse qui sont la clef de voûte de son raisonnement. Il s’agit de L’Evolution Economique du XIXe siècle. Théorie du Progrès (1880), L’Evolution Politique et la Révolution (1884), Les Lois Naturelles de l’Economie Politique (1887) et La Morale Economique (1888). Cette idée au cœur de la nouvelle pensée de Molinari sera résumée dans son livre suivant, Notions Fondamentales d’Economie Politique et Programme Economique (1891) et dans la quasi totalité (pour des analyses partielles de son raisonnement) de ses derniers ouvrages[8].
[1] « M. de Molinari, qui était rédacteur en chef (1870-1876), considérait tous les événements du haut de sa chaire d’économiste. Il apportait dans la composition du journal un grand respect de l’opinion des autres, une grande indépendance. Cette tolérance a toujours été à l’honneur du Journal des Débats » (Pereire [1924], 127).
[2] De nombreux ouvrages de cet auteurs paraîtront dans cette revue en feuilleton (le JDD est le créateur du feuilleton journal) dont le Comte de Montecristo.
[3] Nous verrons par la suite que Molinari a eu également une grande carrière en tant qu’écrivain et plus particulièrement dans ses récits de voyages qui parurent dans le Journal des Débats.
[4] Il n’a jamais cherché à en être membre à part entière car il aurait du pour se faire perdre sa nationalité Belge, ce qu’il ne désirait pas.
[5] Nous insistons encore une fois sur ce terme de Molinari qu’il utilise régulièrement et qui indique la route à suivre afin de résoudre l’ensemble des problèmes économiques.
[6] Par contre, nous savons que l’ensemble de ses objets (et notamment tous ses livres) ont été vendus aux enchères après sa mort en novembre et décembre 1913. Pour plus de précisions à ce sujet, consulter le catalogue de vente indiqué en bibliographie.
[7] Molinari, malgré son origine Belge, est un économiste français. « Il doit figurer dans une histoire des doctrines françaises, parce que c’est en France que son activité d’écrivain s’est déployée » (Pirou [1941], 107).
[8] Pour plus de détail sur ce point et l’analyse de l’évolution en terme de loi naturelle, consulter Gallois [2005].